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Johnny Rives
« Lorsque j’ai été appelé sous les drapeaux, à 21 ans, j’avais déjà une petite expérience journalistique. Un an et demi plus tôt j’avais commencé à signer mes premiers « papiers » dans le quotidien varois « République », à Toulon. J’ai envoyé le dernier d’entre eux (paru le 4 janvier 1958) à Pierre About, rédacteur en chef à L’Equipe. Il m’a fait la grâce de me répondre après quoi nous avons correspondu tout au long de mes 28 mois d’armée. Quand je revins d’Algérie, très marqué psychologiquement, il voulut me rencontrer et me fixa rendez-vous au G.P. deMonaco 1960. Là il me demanda de prendre quelques notes sur la course pendant qu’il parlait au micro de Radio Monte-Carlo. J’ignorais que c’était mon examen d’entrée. Mais ce fut le cas et je fus reçu ! Je suis resté à L’Equipe pendant près de 38 ans. J’ai patienté jusqu’en 1978 avant de devenir envoyé spécial sur TOUS les Grands prix – mon premier avait été le G.P. de France 1964 (me semble-t-il bien). J’ai commencé à en suivre beaucoup à partir de 1972. Et tous, donc, dès aout 1978. Jusqu’à décembre 1996, quand les plus jeunes autour de moi m’ont fait comprendre qu’ils avaient hâte de prendre ma place. C’est la vie ! Je ne regrette rien, évidemment. J’ai eu des relations privilégiées avec des tas de gens fascinants. Essentiellement des pilotes. J’ai été extrêmement proche avec beaucoup d’entre eux, pour ne pas dire intime. J’ai même pu goûter au pilotage, qui était mon rêve d’enfance, ce qui m’a permis de m’assurer que j’étais plus à mon aise devant le clavier d’une machine à écrire qu’au volant d’une voiture de compétition ! Je suis conscient d’avoir eu une vie privilégiée, comme peu ont la chance d’en connaître. Ma chance ne m’a pas quitté, maintenant que je suis d’un âge avancé, puisque j’ai toujours le bonheur d’écrire sur ce qui fut ma passion professionnelle. Merci, entre autres, à Classic Courses. »

Rien à ajouter à ce texte.
Oui, super ennuyeux. C’est bien ma veine, pour une fois (tous les 5 ans en moyenne) que je regarde un Grand Prix …
Etant quasiment novice, je me suis étonné d’une chose (il faut bien s’intéresser à des détails insignifiants, faute d’autre chose) : les numéros. Ils ne se suivent plus dans une écurie ? Vettel a le 5 et Leclerc le 16. Ils sont donc affectés au pilote et non plus au constructeur maintenant ? Décidément, toutes mes références, même les plus basiques, disparaissent …
Olivier, depuis quelques saisons, les pilotes ont droit de choisir un numéro (quel qu’il soit) qui leur est attribué tout le reste de leur carrière. Quand on veut faire des changements, mais qu’on ne sait pas quoi changer en vérité, on sort des mesurettes imbéciles telle celle-ci.
C’est court, c’est net, c’est bien résumé. Auto Hebdo titre “Zzzzzzzz”
Oui, effectivement, c’est efficace !!! En même temps quoi dire d’autre ? Je constate que ce GP a dépassé les bornes des limites de la patience de Mr Rive… 🙁
Et c est tout à fait fondé ! On nage en pleine absurdité. A quand les clignotants pour dépasser ?!
Effectivement tout est dit ! Dommage car je crois que le niveau de pilotage d’une grille F1 n’a jamais été aussi élevé ! Ces pilotes méritent mieux et nous aussi.
Johnny Rives je confirme M.E.R.D.R.E ! Moi qui me réjouissais de voir le GP de France (je n’ai pas Canal) je me suis ennuyée, époumonée contre le réalisateur de la FOM, et contre les censeurs pour finir ????. Car le seul bon moment était le dernier tour des grands gamins qui se sont amusés (et ils l’ont dit)!
J’aime l’ordre et ferai donc mettre dans le règlement que tout dépassement sera pénalisé de deux fois cinq secondes et trois fois plus tous ceux qui pourraient être réalisés ultérieurement
As usual, rien à rajouter à l’analyse de Johnny. Espérons que les caciques de la FIA lisent Classic Courses !
Rien à rajouter . J ai assisté à mon premier GP sur place en 69 à Charade . Depuis tous les GP De France , 15 Monaco et puis Belgique , USA, Canada, Italie, Espagne … une bonne 50aine et puis des centaines à la télé !
La Passion totale …
Et puis Montréal et puis le Castellet! Et puis non !!!
Même un passionné total fini un jour par dire
Stop
Assassin
Bêtise
Ridicule
Absurde
Pitoyable
Escroc
…..
Alors comme Sardou ; Salut, je viens vous dire Salut
Salut
Johnny tu résumes ce que les « anciens » passionnés ressentent mais malheureusement aucun décideur de la F1 n’écoute pas même Jean Todt .plus aucun intérêt dans ce sport qui n’en est plus un,géré par des « fonctionnaires « . qui se tirent chaque weekend une rafale de balles dans le pied ! Qu’ils aillent en moto Gp redécouvrir le « Fighting Spirit!
Formule bidon aujourd’hui……technologie, argent, pouvoir politique et spectacle ‘show biz.’ Vrai pilote et vraie course exclus…..triste.