Olivier Favre
Le goût de l’automobile est un atavisme familial transmis par mon père, qui l’a manifesté autant à l’échelle 1 que par les Dinky Toys. Mais l’intérêt pour la course est ma spécificité et j’y suis venu très tôt par les miniatures Solido des 24 Heures du Mans, Ferrari 512 M, Matra et autres Porsche 917. Après le jeu sur les tapis est venu le temps de la collection et du modélisme, de l’abonnement à Sport-Auto puis à Auto-Hebdo. Parallèlement, mes études à Sciences-Po ont confirmé mon intérêt pour l’Histoire et renforcé ma confiance rédactionnelle. Une fois trouvée ma voie professionnelle dans la fonction publique territoriale, j’ai voulu réunir tout cela et écrire sur l’histoire de la course automobile, celle que je n’ai pas vécue, celle que j’aurais aimé vivre. C’est ainsi que j’ai collaboré à Automobile Historique pendant trois ans. Puis sont venus Mémoires des Stands et le magazine Autodiva, qui me permet de garder le contact, précieux pour moi, avec le papier. Et enfin Classic Courses depuis 2012.
Pour le peu que je l’ai connu, j’avais découvert en François un authentique passionné à l’empathie fortement prononcée. Il a rejoint Bernard, Juan Manuel, Olivier, Wolfgang, Ayrton et tous les autres qui ont enthousiasmé sa vie automobile. Bon voyage, François.
Tristesse, François était un vrai ami de la famille, et quel passionné!
Il aura vécu une belle vie, et côtoyé les plus grands.
Bon voyage François, et belles retrouvailles!
Souvenir de la première réunion de rédaction à Volants & Fourchettes il y a maintenant quelques années, avec son épouse.
Quelle merveilleuse gentillesse et les coups de mains donnés si généreusement.
À l’heure de l’évocation des souvenirs et des anecdotes il était intarissable.
Mes pensées attristées pour son épouse et sa famille.
Sincèrement.
Je n’ai jamais rencontré François Blaise, mais j’ai appris à le connaître au travers de ses textes et ses interventions sur ce site. J’ai plusieurs fois échangé avec lui à l’occasion de tel ou tel détail ou point spécifique.
J’ai toujours pensé qu’on pouvait se faire une idée d’une personne rien que par la façon dont il écrit. En lisant ce qu’il écrivait, François Blaise m’a toujours donné l’impression d’être un homme bienveillant et très sensible.
Je suis très touché par la disparition de François. Il suffisait de le rencontrer une fois pour ressentir toute la bienveillance et la courtoisie que ce Monsieur diffusait . Le gotha de la F1 le connaissait et appréciait sa compétence, sa discrétion. Mes pensées vont vers sa famille qu’il chérissait.
Je ne le connaissais qu’à travers CC mais François Blaise m’avait ému en faisant vivre ici Marie-Christine pour nous. Je suis triste d’apprendre qu’il a rejoint sa sœur.
RIP Francois
Une pensée particulière en ce jour d’obseques lointaines. François, je pense à ta bienveillance et à ta simplicité. Au travail fait ensemble autour du souvenir de Marie Christine. A ton indéfectible soutien à Classic-Courses…
Je pense aussi à ceux qui restent, Sabine avant tout, vos enfants et petits enfants auxquels je présente mes condoléances en mon nom et en celui des auteurs de Classic Courses. RIP.
Voici le commentaire de François Blaise sur une note que j’ai écrite en septembre 2012 sur un autre site et concernant Jean Behra :
« Article émouvant sur la mort de Jean Behra que j’ai bien connu. Je vous adresse une photo en couleurs que j’ai prise au G.P. F1 d’Allemagne sur le Nürburgring en 1957 avec Jean Behra.
Une photo de la course de côte du Galsbergrennen 1958.
Une photo de l’aéroport du Osterreirischenring Zeltweg 1958.
Amitiés sportives.
François Blaise (commissaire inter. 61-91 historien amateur) ».
Merci encore Monsieur Blaise et à bientôt……………….
Ah mince, pas lui, pas François… Jamais je ne l’ai perdu de vue, depuis nos premiers échanges sur Mtso, devenu Racing’ Memories. Que de souvenirs avec François, chez Jean-Paul au Vigeois, à Rétromobile 2014, depuis nous échangions constamment. J’ai un grand regret, celui de ne pas avoir trouvé le temps de lui rendre visite dans l’Est, comme il me le demandait souvent. Grande leçon, « ne jamais reporter les visites à des amis », ils sont tellement rares les gens comme François. Souvenirs d’avoir fait tout un Rétromobile en sa compagnie et celle de ses fils. François essayait d’apaiser quelques tensions entre… Lire la suite »