Grand Prix de Monaco 1962 (source : Youtube)

 

 

Par René Fiévet

 

3 –Et la télévision vint …

 

Je m’en souviens comme si c’était hier. Juin 1960, tout jeune enfant, passionné par les aventures de Michel Vaillant, je ne manquais jamais mon « Tintin » du mercredi. C’était la fin de l’année scolaire, et le samedi matin il y avait eu la distribution des prix. Cette fois-ci, le samedi après midi était libre (ceux de mon âge s’en souviennent : à l’époque, on allait encore à l’école le samedi après midi). La télévision était allumée à la maison, et il y avait le départ des 24 heures du Mans. Ce fut un émerveillement. Je me souviendrai toujours de la Maserati de Masten Gregory prenant la tête dès le départ, et menant un train d’enfer devant les Ferrari. Le lendemain, en regardant l’arrivée, je me demandais pourquoi Paul Frère allait si lentement – au point de se faire dépasser par d’autres voitures – dans le dernier tour de la course. Mais bon, apparemment il avait gagné…

 

Deux semaines plus tard, j’assistai à nouveau à une course automobile à la télévision : le Grand Prix de France de Formule 1 à Reims. Il n’y avait pas beaucoup de caméras, on ne voyait pas très bien, mais ce n’était pas grave. Il y avait une course automobile, quelque chose d’exceptionnel donc, et on vibrait. C’était cela, l’essentiel, et on n’était pas très exigeant sur la qualité de la réalisation. Notamment, le commentaire était d’une grande pauvreté. Le commentateur ne connaissait pas le nom de tous les pilotes.  Deux pilotes moustachus s’étaient accrochés au départ, et il n’avait pas été capable de dire leurs noms (Graham Hill et Maurice Trintignant). Une Vanwall s’était arrêtée au stand au début de course, et là encore il n’avait pas pu donner le nom du pilote (Tony Brooks). Mais le début de course avait été palpitant : Jack Brabham sur sa Cooper, poursuivi par les Ferrari de Phil Hill et von Trips. L’impression de vitesse était grande. A l’époque, en raison du manque de caméras, on avait trouvé judicieux de faire suivre la course par hélicoptère : une caméra fixe sur la ligne d’arrivée, une caméra dans l’hélicoptère, et vogue la galère du reportage de sport automobile…. L’ennui, c’est que dans les longues lignes droites du circuit de Reims, les voitures allaient trop vite pour l’hélicoptère. A l’époque, les courses étaient longues, et elles étaient systématiquement interrompues par les émissions de variétés du dimanche. Quelle souffrance ! Il fallait attendre que le reportage reprenne. Généralement, il s’était passé des tas de choses entretemps – des abandons notamment – et la course avait complètement changé de physionomie. Ce n’était plus qu’une procession. Lors de ce Grand Prix, Brabham, débarrassé des Ferrari, s’acheminait tranquillement vers la fin de la course. Le commentateur nous informait qu’une belle bagarre opposait McLaren et Gendebien pour la 2ème place, sans que le réalisateur soit capable de montrer la moindre image. Tout ceci reste gravé dans ma mémoire, et je donnerai cher pour revoir des images de cette course.

  


 

Monaco 1959, retransmis en direct par la TV norvégienne. C’est le reportage le plus ancien que j’ai pu trouver. Comme on peut le constater, on ne voit pas grand-chose. Mais on distingue bien la Ferrari de Behra devant les Cooper de Moss et Brabham. Nous sommes au tout début de la course.

 

Depuis que je m’intéresse aux vidéos de sport automobile, j’essaye de me procurer des reportages télévisés en direct datant des années 50 et 60, et jusqu’à 1973. A partir de l’année 1970, on finit par avoir à peu près tout, sans que je sache trop pourquoi d’ailleurs. Mais avant 1970, c’est assez difficile, et les reportages télévisés disponibles sont assez rares. Il y a une raison à cela : ces reportages sont protégés par les droits de diffusion. Mais peut-être  que, pour bon nombre d’entre eux, les reportages n’existent même plus dans les archives télévisuelles. Et puis aussi, il y a la rareté. N’imaginons surtout pas que la télévision s’est précipitée sur les reportages de sport automobile et les retransmissions en direct. La plupart du temps, il n’y avait qu’une chaîne de TV, la télévision ne fonctionnait que quelques heures par jour, et les contraintes de la programmation ne permettaient pas forcément la retransmission des Grands Prix. Celle-ci, en outre, posait des problèmes techniques, en raison du grand nombre de caméras nécessaires à la couverture de la course et la difficulté (d’après ce que j’ai pu lire) pour le réalisateur de passer d’une caméra à une autre.

 

D’après les recherches que j’ai pu faire sur le sujet, la première retransmission en direct d’un Gand Prix de Formule 1 fut effectuée en 1953 par la BBC (Grand Prix de Grande Bretagne). Et la première retransmission complète fut le Grand Prix des Pays Bas en 1955. En France, l’ORTF commencera à retransmettre en direct des segments de Grands Prix à partir de  1959 (Monaco, Italie) et 1960 (Monaco, Pays Bas et France). Mais dès 1954, l’ORTF diffusait des images en direct des 24 heures du Mans. Il semblerait ainsi que le GP de France 1960, dont je vous ai parlé plus haut, soit le premier retransmis en direct par l’ORTF. Mais dès 1954, l’ORTF diffusait des images en direct des 24 heures du Mans.

 

  

Grand Prix de Grande Bretagne à Aintree en juillet 1961. Une vraie rareté car les archives de la BBC semblent être gardées comme les coffres de la Banque d’Angleterre. Par rapport au reportage précédent sur le Grand Prix de Monaco, c’est le jour et la nuit. Cela se laisse très bien regarder. Il est vrai que les réalisateurs britanniques ont toujours été en avance sur les autres.

 

Pourquoi se procurer ces reportages de télévision ? On peut légitimement se poser la question. Car, reconnaissons-le, et contrairement au documentaire, la vision d’un reportage télévisé en direct passe mal l’épreuve du temps. Cela ne fait guère vibrer, ne suscite aucune émotion particulière. Il y a une raison simple à cela : on connt le résultat, alors que l’essence même du reportage en direct, c’est l’incertitude sur le résultat final. Tous les passionnés savent cela : les gens extérieurs à notre petit monde, qui nous voient regarder une course automobile, pensent qu’il ne se passe rien, ou pas grand-chose ; que le spectacle est monotone, fastidieux. Mais le passionné vibre, car il sait qu’il peut toujours se passer quelque chose : l’attention toujours en éveil, il guette les moindres signes qui peuvent faire basculer la course dans un sens ou dans l’autre. Il a l’œil rivé sur sa montre, scrute les écarts entre les voitures. Pendant un certain temps, parfois assez long, il ne se passe rien. Et puis, à un moment, l’écart se réduit entre deux voitures : 6 secondes, 5 secondes au tour suivant, et la tension monte. Ceux qui ont vécu en direct le Grand Prix de Monaco 1972 comprendront ce que je veux dire. En apparence, il ne s’est pas passé grand-chose : Beltoise est parti en tête dès le premier virage, et il a mené de bout en bout devant Jacky Ickx. Mais nous sommes restés rivés à notre poste de TV tout l’après midi. Allait-il réussir l’exploit ? La piste était mouillée, les embûches multiples, le danger partout, et nous surveillions avec inquiétude l’écart avec la Ferrari. Bien entendu, regarder la course 40 ans plus tard n’a plus la même saveur. Le regard que l’on peut porter sur ce reportage ne peut plus être que celui de l’historien. Un regard parfois teinté de nostalgie, quand on écoute les commentaires si chaleureux et sympathiques de Stéphane Collaro.

 

Comment se procurer ces vidéos sur les retransmissions automobiles ? En fait, il n’y a qu’une seule méthode : internet et les moteurs de recherche. Ainsi, le premier reportage télévisé que j’ai pu me procurer est le Grand Prix de Grande Bretagne 1961 à Aintree. J’ai acquis ce film en 2003 sur un site internet américain spécialisé dans le sport automobile (depuis, il a disparu de ce site, probablement sous l’insistance de la BBC, soucieuse de faire respecter ses droits de retransmission sur ses archives). Ensuite, j’ai pu obtenir une vidéo du Grand Prix d’Allemagne 1973 (course complète, sans commentaires), en l’achetant à un lecteur de MDS. Par la suite, j’ai aussi fait l’acquisition de reportages télévisés des Grands Prix d’Allemagne 1963, 1964, 1965 sur un site spécialisé dans les vidéos de sport automobile. Après, ayant constitué une petite collection d’une dizaine de vidéos, je suis parti à la recherche de personnes acceptant d’échanger des vidéos. Mais comment les trouver ? Très simple : vous allez sur Youtube et vous trouvez assez facilement des personnes diffusant des bribes de reportages télévisés sur le sport automobile. A partir des années 80, ces films sont en surabondance. Mais pour la période qui m’intéresse, on trouve parfois quelques films. J’envoie alors un message à la personne en question, en lui envoyant ma propre liste et en lui demandant si elle est disposée à faire des échanges. En principe, cela marche assez bien. C’est de cette façon que j’ai pu me constituer la liste que je vous propose ci-dessous. 

 

Un jour, dans la région parisienne je me suis déplacé pour faire un échange de vidéos avec un collectionneur. Un homme très sympathique, travaillant dans l’industrie automobile. Quelle ne fut pas ma surprise en entrant dans son double séjour : il y avait des meubles bibliothèques dans la pièce principale ; et en guise de livres, il y avait une multitude de cassettes VHS, avec un dos de couleur blanche, soigneusement classées et répertoriées. Je dois dire que ce n’était pas du meilleur effet au plan esthétique. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui poser la question : – « votre femme ne commence pas à trouver votre passion un peu embarrassante, et dérangeante ? »

– « Ma femme ? Pensez donc ! Elle est encore plus passionnée que moi. Elle et moi, on ne rate pas un Grand Prix de Formule 1 à la TV.»

Il y a des hommes organisés, dotés d’un grand sens pratique, ne laissant rien au hasard, qui savent choisir les femmes qui conviennent à (tous) leurs besoins. Je ne saurais en dire autant, si j’en juge par la mine désolée et navrée de ma femme quand elle me voit regarder mes vidéos de sport automobile : « encore tes vroum, vroum ! » Si un jour je suis trainé devant un tribunal correctionnel pour violence conjugale, j’espère que certains d’entre vous accepteront de venir témoigner à décharge. Certes, vous affirmerez d’emblée, et avec force, que vous condamnez mon geste, et qu’il ne saurait y avoir aucun malentendu sur le sens à donner à votre témoignage. Vous venez seulement éclairer le tribunal, lui dire que vous comprenez ce qui s’est passé, et l’enchaînement des causes et des conséquences qui m’ont conduit là je suis.   


 

Grand Prix d’Allemagne 1965 sur le Nurburgring. La qualité du reportage télévisé a nettement progressé en quelques années, et les moyens à la disposition du réalisateur ont beaucoup augmenté. Sur cet extrait, qui couvre le premier tour, j’ai pu compter pas moins de 15 cameras. Il semble toutefois que le reportage a été réalisé en léger différé, car comment expliquer que Jim Clark ait réalisé ce premier tour en 5 minutes ?

  

Comment ces retransmissions TV viennent-elles à exister et à circuler ? A vrai dire, je ne le sais pas de facon précise pour la période qui m’intéresse (1950 – 1973). Pour la période qui suit, cela s’explique facilement par le développement de l’usage des magnétoscopes. Pour la période qui précède, je pense que ces enregistrement ont tous plus ou moins été réalisés « sous le manteau » par des salariés ou stagiaires des sociétés de télévisions, passionnés par le sport automobile. Ensuite, ils proposent ces retransmissions en échange d’autres vidéos sur internet, et de fil en aiguille, les vidéos finissent par circuler. cemment, j’ai obtenu une retransmission complète d’un Grand Prix de Formule 1 des années 60, mais à la condition expresse de ne jamais dévoiler son existence car, m’a-t-on dit, la personne aurait été immédiatement identifiée (le film en question ne figure pas dans la liste ci-dessous). Tout ceci me laisse penser que, contrairement aux documentaires dont je vous ai parlé dans la 2ème partie, la liste des vidéos de retransmissions TV des années 50 et 60 est susceptible d’évoluer dans le futur. D’autres vidéos apparaîtront de temps en temps. Je sais que certaines existent, que je n’ai pas pu encore me procurer. Je pense notamment au Grand Prix de Monaco 1962, dont certains extraits sont visibles sur Youtube. Je suis aussi sur la piste d’un Grand Prix de Monaco 1963, qui, semble t-il, est en circulation.

 

Je me suis donc arrêté à l’année 1973, pour les raisons que je vous ai expliquées dans la 2ème partie. Je souhaiterais vous faire partager l’idée que, pour les retransmissions TV également, c’est une bonne idée de s’arrêter à 1973. Pour cela, je vous communique un extrait du GP de Grande Bretagne 1973, dans une version « remasterisée », comme on dit, récemment diffusée par ESPN. Je pense que c’est en 1973 que la retransmission en direct atteint son apogée. Je vous laisse juges : est-ce qu’on peut encore faire mieux, en termes d’intensité, d’émotion, de sensations ? Franchement, je ne pense pas. Et encore, je ne vous donne ici que le deuxième départ, après le carambolage du premier tour, parfaitement filmé par les caméras de la BBC.

 

Bon, je n’insiste pas, je sais ce que vous pensez. Du moins, certains d’entre vous : « René, arrête, tu te fais du mal ; et tu nous fais du mal en même temps. Pourquoi veux-tu revenir sur ce passé qui ne reviendra jamais ? Ronnie Peterson en glissade à Woodcote Corner, poursuivi par Stewart, tous les deux à la limite extrême des possibilités de leurs voitures, à nous faire dresser les cheveux sur la tête, on ne reverra plus jamais ça. Tu le sais bien. Oui, c’était un âge d’or, raison de plus pour essayer d’oublier. C’est fini, enterré, enseveli. Et si on ne peut pas oublier, gardons cela dans un coin de notre tête, et n’embêtons pas les jeunes avec nos vieilles histoires. Puis, on emmènera tout ça dans notre tombe, et plus personne n’en parlera. Laissons les morts enterrer les morts.

 

 

Grand Prix de Grande Bretagne à Silverstone en 1973. Le reportage télévisé est maintenant arrivé à maturité, et je pense qu’on ne fera pas mieux par la suite. Toutes les caméras sont bien positionnées, et on peut parfaitement suivre le déroulement de la course. J’ai comparé avec la retransmission du Grand Prix de France la même année, et la qualité de la réalisation de la BBC est bien supérieure. 

 

C’est vrai, le spectacle était magnifique. Souvenons-nous des voitures : ce n’est pas qu’elles étaient belles, elles avaient de l’esprit. Elles étaient toutes différentes les unes des autres. Derrière ces voitures, on savait qu’il y avait Mauro Forghieri, Ron Tauranac, Colin Chapman, Tony Southgate, Gordon Murray. Ces hommes étaient de vraies stars. A la fin de chaque saison, on imaginait l’ingénieur prendre son crayon, et aller sur sa planche à dessins, avec ses propres idées. Et chaque année, il y avait des voitures différentes qui apparaissaient sur les circuits, avec des trouvailles, des nouveautés techniques. De nos jours, toutes les voitures se ressemblent. Et en plus, elles n’évoluent pas dans le temps. Entre la Ferrari de Schumacher en 2003, et celle d’Alonso en 2013, vous voyez beaucoup de différences ?

 

Oui, René, c’est vrai tout cela. Raison de plus pour ne pas ressasser et ruminer le passé. Si tu ne veux pas passer pour un vieux con, il faut que tu vives avec ton temps, que tu t’adaptes, que tu  trouves d’autres motifs d’apprécier le sport automobile de nos jours. A ce sujet, pourrais-tu nous expliquer ce que tu as contre la petite sieste du dimanche après-midi ? On déjeune tranquillement en famille ; puis on passe au salon pour le café. A 13H30 exactement, on allume la télé. On s’intéresse un peu à la grille de départ ; on vérifie que Bernie Ecclestone est toujours là, fidèle au poste pour faire les présentations aux officiel ; que Jean Todt est toujours accompagné de sa Première Dame, et que tout va encore bien dans le couple présidentiel du sport automobile. Bien installé sur le canapé, on passe insensiblement, mais inéluctablement, de la position assise à la position allongée, tranquille, peinard. Puis, la course démarre, toujours à la même heure. Et rapidement, on s’enfonce dans un état de somnolence éveillée, qui parfois peut aller jusqu’au sommeil profond et réparateur. Tout ceci s’accompagne d’un profond sentiment de respect pour les commentateurs, qui font des efforts surhumains pour nous intéresser à ce spectacle insipide. Les pauvres, ils ne peuvent même plus nous donner le classement, ni les écarts entre les voitures : cela s’affiche automatiquement sur l’écran. Mais ils sont vraiment très forts: ils sont capables de vous dire exactement à quel moment, et à quel endroit, une voiture va en doubler une autre. Et ils ne se trompent jamais. C’est un vrai progrès.

 

Et à la fin, c’est Vettel qui gagne. Qu’est ce que tu as contre ça, René ? Cela ne te convient pas ? C’est quoi ton problème ? »

 

René FIEVET

Photos et vidéos @ DR

 

 

 

Formule 1 : reportages TV en direct

 

L’indication « muet » se rapporte au commentaire seulement, mais le bruit de la course est conservé. Outre l’ORTF, la BBC et la RAI, WDR = télévision allemande, NTR = télévision hollandaise, NRK = télévision norvégienne, ORF = télévision autrichienne.

 

1959 – Monaco (NRK, 33 minutes)

1961 – Grande Bretagne (BBC, 55 minutes)

1962 – Allemagne (WDR, muet) 

1963 – Pays Bas (NTR, 1H20) 

1963 – Allemagne (WDR, 25 minutes, muet)

1964 – Allemagne (WDR, 30 minutes)

1965 – Monaco (TMC, 1H38, muet)

1965 – Hollande (BBC, 21 minutes)

1965 – Allemagne (WDR, 31 minutes, muet)

1966 – Allemagne (WDR, 1H25, muet)

1967 – Allemagne (WDR, 33 minutes)

1967 – Italie (BBC, 3 minutes, fin de la course)

1969 – Monaco (ORTF, 44 minutes)

1969 – France (ORTF, 7 minutes)

1969 – Grande Bretagne (ORTF, 1H58)

1969 – Grande Bretagne (BBC, 23 minutes)

1969 – Allemagne (WDR, 16, muet)

1969 – Italie (ORTF, 31 minutes) 

1970 – Espagne  (WDR, 1H12)

1970 – Monaco (NRK, 49 minutes)

1970 – Hollande (NTR, 11 minutes, muet)

1970 – France (ORTF, 46 minutes)

1970 – Allemagne (WDR, 23 minutes, muet)

1970 – Autriche (WDR ou ORF, 1H17, avec interviews de Rindt et Stewart)

1970 – Italie (ORTF, 24 minutes)

1971 – Espagne (ORTF, 43 minutes)

1971 – Monaco (ORTF, 1H03)

1971 – France (ORTF 46 minutes)

1971 – Grande Bretagne (WDR, 5 minutes)

1971 – Allemagne (WDR, 41 minutes)

1971 – Autriche (ORF, 8 minutes, muet)

1971 – Italie (ORTF, 1H28)

1972 – Monaco (ORTF, 14 minutes)

1972 – France (ORTF, 1H00)

1972 – Grande Bretagne (WDR, 1H35)

1972 – Allemagne (WDR, 11 minutes)

1972 – Autriche (ORF, 8 minutes, muet)

1972 – Italie (RAI, 10 minutes, muet)

1973 – Brésil (TV brésilienne, 9 minutes)

1973 – Monaco (WDR, 12 minutes)

1973 – France (ORTF, 2H02, muet)

1973 – Grande Bretagne (BBC, 55 minutes)

1973 – Pays Bas (NTR, 1H31, muet)

1973 – Allemagne (WDR, 2H07, muet)

1973 – Autriche (ORF, 1H17, muet)

 

Reportages

1965 – Monaco, séance d’essais du jeudi (BBC, Wheelbase, 25 minutes)

1968 – Mexico (BBC, Wheelbase, 20 minutes)

1969 – Monaco (Monaco, Wheelbase, 25 minutes)

1969 – Pays Bas (WDR, 14 minutes)

1969 – Mexico (BBC, Wheelbase, 18 minutes)

1970 – Afrique du Sud (BBC, Wheelbase, 21 minutes)

1970 – Espagne (BBC, Wheelbase, 24 minutes)

1973 – Suède (BBC, Wheelbase, 15 minutes)

 

Formule 2

1969 – Pau (ORTF, 57 minutes)

1969 – Albi (ORTF, 57 minutes)

1970 – Le Castelet (ORTF, 1H18 minutes)

 

Formule 3

1972 – Monaco (ORTF, 48 minutes)

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